Son parcours, son histoire
Olivier BaroinHaute-joaillerie

Né en 1968, Olivier Baroin intègre la Haute Ecole de Joaillerie BJOP sur concours en 1983 et obtient son diplôme de bijoutier. Il commence à travailler en atelier à l’âge de 18 ans et suit parallèlement des cours en histoire de l’art pour devenir antiquaire.
En 1998 Il s’installe dans le 16e arrondissement de Paris en tant que joaillier-antiquaire. Dans son atelier il ne réalise que des pièces sur commande et se spécialise en bijoux anciens.





Le garant d’une oeuvre singulière



En 2001 il devient expert en bijoux anciens. Passionné par l’œuvre de Suzanne Belperron, il acquiert en 2008 -outre les effets personnels de la créatrice-, l’ensemble des archives redécouvertes dans son appartement parmi lesquelles, ses cahiers de rendez-vous tenus au jour le jour de 1937 à 1974.
Le 23 septembre 2008, les archives de Suzanne Belperron faisaient l’objet d’un contrat de cession sous seing privé – enregistré à Versailles le 1er octobre 2008 – en vertu duquel le dernier légataire universel mandatait Olivier BAROIN pour pérenniser -entre autre- « […] l’avenir de l’expertise de toute l’œuvre réalisée par madame Suzanne Belperron ».
C’est ainsi qu’a vu le jour la première monographie sur l’artiste, issue de la volonté de rendre accessible au plus grand nombre les informations découvertes.

La Golconde, un lieu unique et préservé

En 2013, Olivier Baroin s’installe dans la galerie de la Madeleine au 9, place de la Madeleine à Paris sous l’enseigne « La Golconde ». Dans cet univers spécialisé en bijoux anciens flotte l’âme de Suzanne Belperron.

Ventes aux enchères
Une expertise exclusive
Désormais devenu « le spécialiste de Suzanne Belperron », Olivier Baroin se consacre à l’authentification des pièces de l’artiste pour les maisons de vente internationales. Ses expertises lui auront permis d’être à l’origine des ventes aux enchères des plus prestigieuses collections de bijoux de la créatrice.

Traçabilité et authentification

La traçabilité des clients comme des commandes s’avèrent d’une importance d’autant plus capitale que les techniques contemporaines rendent aujourd’hui la copie facile en matière de joaillerie.
Esthète et femme d’honneur, tout à la fois brillante et discrète, Suzanne Belperron avait pour seul adage « mon style est ma signature ». La découverte de ses archives permet désormais d’authentifier ses propres créations avec certitude.
